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ETHER DE VIE
10/11/2008 00:05
Mon Amour est venu
M'unissant à toi
Avec ses joies
Avec ses peines
Au jour
Le coeur lourd
Le coeur léger
Le coeur plein
D' Amour
De t'avoir dans mon coeur, Julia
Gentille, douce
Affectueuse, fidèle
Et Juste
Protégeant un bonheur
De pouvoir s'aimer
Pour toujours
Pour l'éternité même...
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LE PONT D'AMOUR
09/11/2008 23:46
De vous à moi, de moi à vous
Ce pont d'amour est roi
Est celui de notre loi
Tracé d'un " oui "
Qui de deux être l'ont uni
Faut-il nous en souvenir ?
Les rires après les pleurs
Le pardon après l'érreur
Les jours égrainant les heures
Mais dans la main
Nous allons parcourant les chemins
Jusqu'au lendemain du lendemain
Non face à face
Mais face contre face
Nous marchons sur nos traces
Tendis que les routes s'entrecroisent
Toujours à deux avec espoir
Nous allons nous asseoir
Sur ce pont d' Amour
Regardant autour de nous
Les anciens sont de retour
Aux regards éternels
Non ! ne jalouse pas d'elle
Car tu es vraiment la plus belle
Sauvont cette vie en pente
Avant que l'ont ne la rende
Cette ésperance si violente !
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EPITHALAME
09/11/2008 16:19
Ô femme, île lointaine et nue ! Ô le mystère
De n'être rien sans toi qui de moi tout espères
Et de ne rien vouloir qu'un désir passionnel
Qui nous ferais tous deux éternels sur la terre !
Ton visage est d'eau pure où je me désaltère
Ts cheveux sont comme les blé alourdis par le soleil
Où rêvent des iris. Et j'aime, en ton sommeil
Dans l'ombre respirer ta nuque fougère...
Le jour avec la nuit dans tes yeux se mélangent
Si bien que je ne sais si c'est l'aube où le soir
De notre amour. Et je me meurs d'un bel espoir
Comme d'un ciel trop bleu les fragiles mésanges...
Dans le puits de tes yeux mon image est captive
Mais avec elle, aussi, tout l'azur vagabonde...
La feinte de tes cils au battement si long,
Sait déjouer de moi les furtives esquives...
Sous tes bras alanguis sont les pasage tendres
Où montent mes baisers ainsi que des brebis
Et tes épaules nues, aux rondeurs de pain bis,
Sont fraîches à ma bouche et chaudes comme cendres...
Cambré comme bêliers -- mais pour quelles batailles ?
Tes deux seins sont armés des roses de l'orgueil
Des portes de l'amour ils défendent le seuil
Mais, mon désir aidant, de faiblesse tréssaillant...
Ta hanche a les rebonds de ces hautes collines
Où gonflent les moissons dans la houl des vents
Ce soir j'y ceuillerai des pavots chancelants
Pour tes rêves tendres qu'il faut que je devine...
Tes bras sont comme une onde où nageraient des cygnes
D'un même mouvement ils coulent sur mes flancs
Me portant un bonheur qui va s'élargissant
Nous mêlant l'un à l'autre en un délire insigne...
Aux vagues de la mer j'emprunte mes caresses
Le sable sous leurs jeux s'allonge nuit et jour
Mais le vent inconstant, doux et fort tour à tour
Imite en vain l'amour qui jamais n'à de cesse...
Il suffit d'un regard de tes yeux plein d'étoiles
Pour que la nuit s'ilumine, certaine des dieux
Et de leur préferance, Astres mystérieux
Guidez-moi jusqu'à vous comme voguent les voiles...
Tu es sur l'horizons le matin qui s'éveille
La cime la plus haite au-dessus de la mer
L'onde sous tes pieds nus couche ses flots amers
Mon âme en tes reflets se cherche et s'émerveille...
Ô femme, île lointaine aux étés de lavande
Voici mes mains tendres dans la touffeur des thyms
Ma quête de l'Amour à travers tes chemins
Et mes chants de berger, pour toi seule, en offrande ! ...
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" L'EFFET PAPILLON "
09/11/2008 14:15
A cause d'un mot dit, fût naître un échange
A cause d'un échange fait, un message est née
A cause d'un message transmis, un partage c'est créer
A cause d'un partage créer, un sentiment est devenu mutuelle
A cause d'un sentiment mutuelle, un nouvel amour est en train de se former
A cause de ce nouvel Amour, un bonheur et une paix intérieur nous console
Tout simplement pour un simple mot...
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BIENTOT
09/11/2008 13:48
Nous Allons enfin nous voir bientôt
J'en tremble de bonheur...
De plaisir et de crainte aussi...
C'est tellement fou ce qui nous arrive !
Je m'étais préparé à affronter bravement
Le temps...
Et la distance qui s'immiscait
Lourdement entre toi et moi...
Mais voici que débordant d'amour tu précipites
Mon arrivé chez toi...
Dont tes prunelles rieuses ont irradié mon coeur
Dont tes lèvres sucrées ont froissé ma bouche
Tout comme toi, tu as incendié mon être...
En une fraction de seconde...
Créant ainsi un lien ténu, mais intense
Entre nos deux âmes ivres d'amour...
Je viens, je viens ! quel doux refrain
Chante mon coeur fou de joie...
Demain dans tes bras je me réfugierais
Vers tes lèvres je tendrais les miennes
Et mes mains autour de toi se feront cerceau
Pour t'attirer au plus près de mon corps
Avide de t'aimer...
Bientôt...tu seras là, merveilleux espoir concretisé
MA toute douce....mon Amour délicieuse...
Dans le creux de mes mains ton visage
Je prendrais et sur tes yeux de craquants
Petits baisers mouillés je déposerais...
Et sur tes joues e sonores bisous d'enfants
Je jetterais...
Et dans ton cou de brûlants baisers d'amant je
Collerais...
Sur mon coeur tambourinant furieusement
De tout se bonheur envahissant...
Je pousserais ton visage afin que tu sois
à l'écoute de cet amour qui bat...
Pulse et vibre dérrière mon torse satiné...
Demain...demain,
Je serai, Roi, amant, époux
Car près de toi je serais...
Et mes rêves prennent vie...Bientôt ! ...
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